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Y a-t-il des blaireaux en Antarctique ?

Je viens d’achever le bouquin sur l’Antarctique. Il va partir vers plusieurs destinataires pour la relecture. Puis ce sera le temps des corrections. En attendant que toutes les étapes soient terminées, que le roman soit prêt pour l’édition, je travaille sur la couverture. Elle portera, comme mes autres ouvrages, un pastel.


Je fais à chaque fois une série de dessins et j’en choisis un pour illustrer la couverture. Premier dessin : J’ai mis de la couleur sur une toile apprêtée format 30 x 40 cm. Il fallait, bien évidemment un paysage antarctique laissant suggérer la fonte des glaces.


Le climat qui sévit en Terre Adélie (et partout aux pôles), remet en question la survie de la faune dans ces régions polaires.

Les colonies de manchots sont-elles appelées à disparaître ? Combien de temps ces charmantes bestioles vont-elles encore résister aux conditions de plus en plus précaires qui sévissent en Antarctique ? Je ne sais pas. Sur les bases scientifiques, les missionnaires observent l’évolution des espèces et la progression de ce changement climatique qui s’est opéré à petits pas depuis des décennies, mais qui, d’après les relevés, s’intensifie à vitesse grand V ces dernières années.


Pourquoi s’attacher à surveiller les pôles vous dites-vous peut-être ? C’est loin de chez nous ! Les eaux des océans jouent un rôle primordial dans nos climats. Elles absorbent et distribuent la chaleur partout sur la planète. Les eaux glacées et les neiges des pôles - sources froides du climat de la Terre - ont un rôle de régulation du climat (rôle crucial).


Y a-t-il des blaireaux en Antarctique : Le blaireau dans un certain jargon pas très flatteur, c’est celui qui flaire avec méfiance le monde extérieur, parce qu’il ne sort jamais de son trou. Par extension, un blaireau est désagréable, peu sociable. Son manque d’ouverture en fait souvent une personne stupide, imbécile.


Le monde est peuplé de ces gens à l’ouverture d’esprit peu développée, qui sont soucieux de leur nombril, mais refusent de considérer plus loin que le bout de leur nez. Celui qui dépasse les limites de son champ (et celles de son compte en banque) et porte son regard au plus loin, va comprendre les risques encourus par l’ensemble de la planète. Il va d’abord prendre conscience qu’il n’est pas tout seul sur la Terre, qu’il y a eu des vies avant lui, qu’il y en aura d’autres après lui (peut-être). Il sera alors - peut être - enclin à surveiller ses pensées, ses idées, ses actions, pour tenter de faire perdurer le plus longtemps possible l’environnement dans/sur lequel nous vivons tous et dans/sur lequel ce serait top que d'autres vivent après nous.


L’héroïne de mon dernier roman, Sélénia, est une femme d’une bonne quarantaine d’années, pure parisienne, qui n’a jamais quitté son quartier. Une rencontre va bouleverser sa vie et de circonstances en circonstances, elle va être entraînée très loin de ses routines, loin des rues et avenues de la Porte Dorée, loin de la fenêtre de son ordinateur, dans un autre monde où elle va découvrir la vraie vie. Le voyage qu’elle entreprend la conduit à ressentir des émotions dont elle n’avait même jamais eu l’idée. Elle va gravir chaque marche d'un escalier sur lequel elle va s’enrichir et s’élever.


Le livre devrait être prêt et sortir en fin d’année 2024, afin que vous puissiez vous le faire offrir pour Noël ;-)

A tous les blaireaux du monde : " courage, on peut toujours changer !"

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